• Les tracés des Lignes à Grande Vitesse Bordeaux Toulouse et Bordeaux Espagne sont approuvés par le ministère des transports.

• Après Bordeaux/Paris en deux heures en 2017, le Grand Projet ferroviaire du Sud Ouest mettra Toulouse à trois heures de la capitale en 2020.

• Le GPSO permettra des liaisons européennes nord sud et une amélioration de la circulation des TER

Le TGV bientôt à pleine vitesse dans le grand sud ouest (Photo: CC Norbert Hüttisch)

Le ministère des transports donne son feu vert

Le tracé de la nouvelle ligne ferroviaire Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne, prolongement de la ligne à grande vitesse (LGV) sud-est Atlantique reliant Tours à Bordeaux, a été approuvé par le ministère des Transports, a annoncé vendredi Réseau Ferré de France (RFF) (voir la carte ci-dessous).

« Cette décision constitue une avancée majeure pour le Grand projet ferroviaire du sud-ouest (GPSO) puisqu’elle permet à RFF de préparer sa mise à l’enquête d’utilité publique, prévue à la fin du premier semestre 2013 pour une déclaration d’utilité publique attendue fin 2014″, a ajouté RFF dans un communiqué.

Paris Bordeaux en 2017, Toulouse et l’Espagne en 2020

Les axes Bordeaux-Espagne et Bordeaux-Toulouse (GPSO) sont le prolongement de la LGV sud-est Atlantique Tours-Bordeaux qui concerne cinq régions (Centre, Aquitaine, Poitou-Charentes, Limousin, Midi-Pyrénées) et doit voir le jour en deux temps.

Le prolongement de la ligne TGV entre Tours et Bordeaux (302 km), dont le chantier a commencé début 2012, puis la création au sud de Bordeaux de deux lignes distinctes (l’une vers Hendaye, l’autre vers Toulouse), longues de 417 km et réunies sous le nom de GPSO.

Une branche vers Limoges, au départ de Poitiers, est également prévue. Ce réseau de lignes doit mettre Bordeaux à deux heures de Paris d’ici à 2017, Toulouse à un peu plus de trois heures après 2020, au lieu de cinq actuellement, et favoriser le fret ferroviaire vers l’Espagne.

Des liaisons européenne nord sud, une circulation des TER améliorée

« La décision ministérielle va permettre de démarrer la réalisation d’acquisitions foncières, mais également d’envisager des boisements compensateurs en amont de la déclaration d’utilité publique », selon RFF. Le GPSO vise à « créer une continuité des liaisons ferroviaires à grande vitesse entre la France et l’Espagne et favoriser ainsi les échanges entre le nord et le sud de l’Europe », précise RFF.

Autre objectif du projet, selon le gestionnaire du réseau, « améliorer les circulations des TER et des trains de marchandises et créer un rapprochement entre Atlantique et Méditerranée ».

Légende carte : Le tracé des deux nouvelles lignes TGV Bordeaux Toulouse et Bordeaux Espagne

Les orages qui se sont abattus sur le Sud Ouest  dans la nuit de dimanche à lundi ont causé des dégâts notamment sur la ville de Cognac et ses alentours ;  le vignoble bordelais, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été très localement grêlé.

La Charente a essuyé dans la nuit un fort coup de vent avec des rafales relevées à 130 km/h notamment à Cognac et dans des villages avoisinants, a indiqué la préfecture du département qui a mis en place une cellule de crise.

A Cognac,des tuiles arrachées, des toitures endommagées

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits., les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

Des milliers de foyers sans électricité

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

Une tornage dans le quartier de la gare de Cognac

« On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

Selon lui, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Réparer avant un nouvel orage

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit.

La grêle. au nord des appellations St estèphe et Margaux

Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Le vignoble de Bordeaux en appellation Médoc, du côté girondin de l’estuaire de la Gironde, a de son côté également essuyé un violent orage de grêle.

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe, « près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

De violents orages avec des rafales à 130 km/h ont provoqué d’importants dégâts à Cognac( 16) dans la nuit de dimanche à lundi. Le vignoble du Médoc, a été en partie grêlé. Aucune victime n’est à déplorer.

La Charente un fort coup de vent avec des rafales relevées à 130 km/h notamment à Cognac et dans des villages avoisinants, a indiqué la préfecture du département qui a mis en place une cellule de crise.

Chutes d’arbres et toitures arrachées

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits.

A Cognac, les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

9000 foyers privés d’électricité

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

Aucune victime

« On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

Une véritable tornade

Selon lui, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit.

Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Le vignoble bordelais également touché

La Gironde (33) et la Charente (16) ont été touchées par de violents orages et de fortes rafales de vent dans la nuit de dimanche à lundi. Bilan : de nombreux dégâts et 9000 foyers privés d’électricité à Cognac et ses alentours. Le vignoble bordelais situé sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde a été très localement grêlé.

La Charente a essuyé dans la nuit un fort coup de vent avec des rafales relevées à 130 km/h notamment à Cognac et dans des villages avoisinants, a indiqué la préfecture du département qui a mis en place une cellule de crise.

De nombreuses chutes d’arbres sur les routes

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits.

A Cognac, les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

200 interventions de pompiers en Charente

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Encore 2100 foyers sans électricité en fin de journée

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

« On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié.

Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

« il a dû y avoir une sorte de tornade »

Selon le maire, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit.

L’alerte météo maintenue jusqu’à minuit en Charente

Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Le vignoble de Bordeaux en appellation Médoc, du côté girondin de l’estuaire de la Gironde, a de son côté également essuyé un violent orage de grêle.

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe, « près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

Les orages qui se sont abattus sur l’Aquitaine dans la nuit de dimanche à lundi ont causé des dégâts notamment sur la ville de Cognac et ses alentours, tandis que le vignoble bordelais, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, a été très localement grêlé.

 Des rafales ont été relevées à 130 km/h notamment à Cognac

Les dégâts sont notamment liés à des chutes d’arbres et de branches sur les toitures. Des tuiles ont par ailleurs été arrachées des toits.

A Cognac, les séquelles de ce coup de vent étaient visibles dans les rues avec de nombreux branchages, feuilles déchiquetées et tuiles cassées, rapidement nettoyés par les pompiers et les services techniques de la ville, a constaté un journaliste de l’AFP.

Les pompiers de la Charente avaient en début d’après-midi encore plus de 200 interventions en attente. Face à l’ampleur des demandes, une centaine de pompiers et 50 véhicules du Codis de la Charente étaient en action.

Quelque 9.000 foyers étaient privés d’électricité en début de matinée en Charente et à 13H00 quelque 2.100 foyers attendaient toujours d’être reconnectés par ERDF qui a sollicité des renforts extérieurs afin que l’ensemble du réseau soit réalimenté en soirée.

« On s’en sort plutôt bien car cela s’est passé la nuit, la veille d’un jour férié. Vu l’état des rues avec des branches, des tuiles et des cheminées effondrées, s’il y avait eu du passage comme en plein après-midi, il y aurait sûrement eu au moins des blessés », a déclaré à l’AFP le maire de Cognac, Michel Gourinchas.

Selon lui, « il a dû y avoir une sorte de tornade » car seulement un quartier de la ville proche de la gare a essuyé ce fort coup de vent. Il entend faire la demande de classement en catastrophe naturelle.

Pour M. Gourinchas, l’urgence est de « bâcher les toits » au cas où un autre orage s’abattrait sur la ville. « On a eu notre part; s’il doit y avoir de grosses pluies, j’espère que ce ne sera pas sur la ville car avec les feuilles, la terre et la boue, accumulées, les canalisations seraient vite bouchées », a-t-il dit.

Le vignoble de Cognac a été victime de la grêle et quelques parcelles ont subi des dégâts.

Un nouvel épisode orageux de forte intensité est attendu entre 20H et 23H00 lundi soir en Charente.

Violent orage de grêle dans les vignobles  médocains

« C’est irrégulier mais il y a des parcelles où il n’y a plus de feuilles sur les branches », a indiqué à l’AFP un conseiller viticole de propriétés du Médoc, Antoine Médeville, du laboratoire Oenoconseil.

Selon lui, sur une zone regroupant quatre à cinq villages au Nord des propriétés en appellation Margaux et Saint-Estèphe, « près de 50% du vignoble a été touché, 25% pour les uns et quasiment 100% pour d’autres », a-t-il dit.

Interrogés par l’AFP, des viticulteurs qui ne souhaitent pas que le nom de leur propriété soit citée, ont fait état de « feuilles déchiquetées » de « branches cassées ».

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• Point 2
• Point 3